« Pas soutenue » : pourquoi le retour de Clarisse Agbegnenou neuf mois après la naissance de sa fille a été compliqué

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« Pas soutenue » : pourquoi le retour de Clarisse Agbegnenou neuf mois après la naissance de sa fille a été compliqué

Clarisse Agbegnenou, symbole de résilience et de détermination, a traversé les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec bravoure mais sans la médaille d’or tant espérée.

Sa lutte ne se limite pas aux tatamis; elle se bat aussi pour la reconnaissance des femmes dans le judo et pour l’équilibre entre sa…

Clarisse Agbegnenou, symbole de résilience et de détermination, a traversé les Jeux Olympiques de Paris 2024 avec bravoure mais sans la médaille d’or tant espérée.

Sa lutte ne se limite pas aux tatamis; elle se bat aussi pour la reconnaissance des femmes dans le judo et pour l’équilibre entre sa carrière et son rôle de mère.

Clarisse Agbegnenou, une guerrière depuis le début, a toujours dû se battre. Que ce soit sur les tatamis ou pour faire avancer la condition des femmes dans le judo, elle ne s’est jamais arrêtée.

Son objectif pour les JO à domicile était clair : atteindre les sommets. Toutefois, malgré des mois de préparation rigoureuse, accompagnée de sa petite Athéna, la médaille d’or lui a échappé, laissant place à une médaille de bronze qui témoigne néanmoins de son incroyable capacité à surmonter les défis.

Une fédération peu soutenante

Lors de son retour à la compétition à Tel Aviv, Clarisse a ressenti un manque de soutien de la part de sa propre fédération, une situation qu’elle a exposée dans le documentaire Claire Agbegnenou : l’Olympe pour Athéna.

La veille de sa compétition, la fédération lui a imposé de porter le kimono de l’équipe de France, une exigence qui l’a déstabilisée en raison de la différence de confort et d’adaptation aux marques de kimono.

Des inégalités flagrantes

La judokate s’est heurtée à une inégalité flagrante au sein de sa propre fédération. Contrairement à Teddy Riner, qui avait le droit de concourir avec son kimono personnel, Clarisse s’est vue refuser cette faveur, mettant en lumière une problématique d’équité au sein du judo français.

Elle a tenté de faire entendre sa voix, sans succès, et a finalement décidé de porter son propre kimono, ce qui lui a coûté l’accès à son entraîneur durant la compétition.

Malgré les obstacles, Clarisse a adopté une approche plus calme et philosophique, influencée par sa maternité. Elle admet que la présence de sa fille lui a donné une nouvelle perspective, lui permettant de gérer les frustrations avec une sérénité accrue. Cette attitude lui a permis de naviguer dans les eaux tumultueuses de la compétition et des attentes, tout en restant fidèle à ses valeurs et à son intégrité.

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