En 1969, sur le tournage de « La Piscine » par Jacques Deray, une rencontre fortuite entre Alain Delon, Véronique de Villèle et Mireille Darc forge une amitié remarquable.
Ce trio illustre une complicité qui transcende les rôles traditionnels, tissant un lien familial profond qui…
En 1969, sur le tournage de « La Piscine » par Jacques Deray, une rencontre fortuite entre Alain Delon, Véronique de Villèle et Mireille Darc forge une amitié remarquable.
Ce trio illustre une complicité qui transcende les rôles traditionnels, tissant un lien familial profond qui perdure bien au-delà des projecteurs.
La collaboration initiale entre Alain Delon et Véronique de Villèle, alors jeune comédienne, prend place dans l’ambiance glamour du film « La Piscine ».
Delon, interprétant un écrivain, et Véronique, faisant une brève apparition, ne se doutent pas que ce premier contact marquera le début d’une longue amitié.
Peu après, Véronique devient l’assistante de Mireille Darc, et par extension, entre dans le cercle intime de Delon.
Une Relation Familiale
Ce qui commence comme une relation professionnelle évolue rapidement en une amitié sincère et durable. Véronique est considérée non seulement comme une assistante mais comme une véritable « petite sœur » pour Delon et Darc.
Cette relation unique est renforcée par des années de collaboration étroite, pendant lesquelles Véronique partage leur quotidien, les assiste durant les tournages et les accompagne dans leurs voyages à travers le monde.
La dynamique entre Véronique et Alain Delon est particulièrement forte; elle le décrit comme un « grand frère » et un pilier dans sa vie. Leur complicité se manifeste dans leur soutien mutuel, leurs confidences partagées et les moments joyeux qu’ils vivent ensemble.
Cette relation fraternelle démontre la capacité de Delon à nouer des liens profonds au-delà de ses célèbres amours à l’écran.
La disparition d’Alain Delon représente une perte immense pour Véronique, qui exprime un chagrin profond lors de son interview.
Elle témoigne de la douleur aiguë de perdre non seulement un ami mais un membre de sa famille élargie.
Les décennies d’amitié, de rires et de larmes partagées, résonnent avec une intensité particulière face à cette séparation définitive.